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INDONESIE SINGE ORANGS-OUTANS et DRAGON DE KOMODO OCTOBRE 2022.

Publié le par André BERTON

   Cliquer sur les photos pour les agrandir.

   Toutes les photos sont protégées.

   Pas de reproduction sans accord préalable

INDONESIE SINGES ORANGS-OUTANS et DRAGONS DE KOMODO. VOYAGE EN OCTOBRE 2022.

 

L’Indonésie est une mosaïque de peuples et d’ethnies où se côtoient musulmans, chrétiens, bouddhistes, hindouistes et animistes. Chacun vit à son rythme, du plus traditionnel au plus frénétique.
L’Indonésie, c’est aussi une multitude d’îles, égrenées au milieu de l’Océan Indien aux eaux capricieuses. La nature n’est pas en reste : dans les jungles impénétrables de Sumatra évoluent toujours tigres, éléphants, serpents ou orangs-outans. À Java, les montagnes volcaniques rivalisent de paysages extraordinaires. Nusa Tenggara et Sulawesi sont des îles hors norme, qui se protègent férocement des cultures étrangères.
Vous l’aurez compris, l’Indonésie, cette île à la végétation luxuriante est fascinante. Généreuse et multiculturelle, l’Indonésie invite le voyageur au dépaysement… et c’est réussi.

La géographie de l'Indonésie

Nom officiel : République d’Indonésie

Capitale : Jakarta

Population : 265 061 322 habitants (en 2017)

Superficie : 1 913 579 km²

Langue officielle : bahasa Indonesia (indonésien)

Unité monétaire : Roupie indonésienne (IDR)

L’Indonésie est le plus grand archipel au monde. Il est constitué de 16 056 îles (chiffre officiel en 2017) dont seulement 6 000 sont habitées. Notons qu’aujourd’hui, toutes les îles qui composent l'archipel ne sont pas encore répertoriées dans son intégralité et qu'on estime le nombre total à environ 18 000 îles. De par sa superficie, l’Indonésie est le quinzième plus grand pays du monde et le quatrième pays le plus peuplé derrière la Chine, l'Inde et les Etats-Unis.

 

Carte Indonésie
Carte Indonésie

 

Les frontières de l’Indonésie

L’archipel indonésien partage ses frontières terrestres avec la Malaisie à l’est et la Papouasie-Nouvelle-Guinée, à l’ouest. Il est entouré par l'Océan indien à l'ouest et par l'Océan Pacifique à l'est. Plusieurs mers l’encerclent également notamment, la mer de Java, la mer de Banda, la mer de Célèbes ou encore la mer des Moluques.

 

Les reliefs de l’archipel indonésien

Les reliefs de l’archipel se présentent sous toutes ses formes. On y compte environ 150 volcans faisant partie de la ceinture de feu du Pacifique. On note ainsi la présence d'une chaîne de montagnes, s’élevant à plus de 3 600 mètres d’altitude et s’étend d'est en ouest. Néanmoins, le point culminant de l’Indonésie n’est pas un volcan. Il s’agit du mont Puncak Jaya ou pyramide Carstensz. Il est situé sur l'île de Nouvelle-Guinée, dans la province de Papouasie et culmine à 4 884 mètres d’altitude. Outre les reliefs très accidentés du pays, on distingue également des plaines dont les plus importantes se situent à Java, Sumatra et Bornéo.

 

L’Indonésie, un pays à forte activité volcanique

L'Indonésie est le pays qui recense les plus importantes activités volcaniques au monde. On y dénombre au moins 150 volcans, dont plus de 70 sont toujours en activité. Parmi les volcans les plus surveillés, le Merapi figure en tête de liste en raison de sa forte activité ainsi que sa proximité des grandes villes comme la ville de Yogyakarta.

 

Les principales îles de l’archipel

L’archipel indonésien est constitué de plusieurs îles et groupes d’îles formant chacune une région naturelle à part entière. Étant donné le nombre important de ces îles, nous ne pourrons les voir une à une, mais nous vous dressons ici la liste des principales îles à découvrir lors d'un voyage en Indonésie.

 

                                                                        BORNEO

Bornéo : une forêt tropicale entre les océans Indien et Pacifique

Bornéo, en Asie du Sud-Est, est la quatrième plus grande île du monde. Elle représente seulement 1% des terres de la planète, mais détient environ 6% de la biodiversité mondiale dans ses forêts tropicales incroyablement riches.

Les forêts tropicales et le climat de Bornéo concentrent les conditions idéales pour permettre à une grande variété d'espèces de prospérer. Au détour des marécages, des mangroves, des forêts de plaine et de montagne, plus de 15 000 plantes, dont 6 000 endémiques, peuvent être rencontrées. Parmi les espèces que l'île abrite figurent les orangs-outans et les éléphants de Bornéo ainsi que les plantes carnivores géantes à pièges passifs et les rafflésies. La chaîne alimentaire se compose également de milliers de plantes, lichens et champignons, qui nourrissent un large éventail d'espèces.

Le “cœur de Bornéo” constitue la partie principale de l'île où les forêts sont restées intactes. Couvrant une superficie de la taille de l'Angleterre et de l'Écosse réunies et s'étendant sur plusieurs pays (Brunei, Indonésie et Malaisie), cet espace forme l'une des plus grandes forêts tropicales transfrontalières encore observable dans le monde.

Mais le “cœur de Bornéo” n'est pas seulement un trésor de biodiversité, c'est aussi une source de vie et de moyens de subsistance pour les autochtones, un véritable trésor écologique pour les quelque 11 millions de Bornéens, dont un million de Dayaks indigènes installés dans ces forêts.

                                  Les SINGES DE BORNEO

                             I / LES ORANGS-OUTANS.

 

L’Orang-outan : plus grand mammifère arboricole

Le nom « orang-outan » vient du malais orang hutan, qui signifie littéralement « homme de la forêt ». Ce grand singe a élu domicile à la cime des arbres et parcourt inlassablement la canopée à la recherche de fruits, de feuilles et d’insectes.

Les orangs-outans, qui comptent trois espèces, présentent une fourrure rougeâtre hirsute et des mains et pieds capables de préhension. Leurs bras puissants sont plus longs que leurs jambes et peuvent atteindre 2 mètres. Ils sont capables de toucher leurs chevilles lorsqu’ils se tiennent debout. Les mammifères passent la majeure partie de leur temps dans les arbres en quête de nourriture.

Les orangs-outans vivent dans les forêts primaires et secondaires. Bien qu’on les retrouve à plus de 1 500 mètres au-dessus du niveau de la mer, ils vivent pour la plupart dans les zones de basses terres et préfèrent les forêts de vallées fluviales ou les plaines inondées.

Les orangs-outans étaient autrefois largement répartis dans l’ensemble de l’Asie du Sud-Est, s'implantant même jusqu'au sud de la Chine et jusqu'au sud de l’île indonésienne de Java. Mais aujourd'hui, la présence de ces grands singes d’Asie se limite à deux îles, Bornéo et Sumatra.

Avec un nombre d’individus ayant drastiquement diminué au siècle dernier et une pression humaine en constante augmentation, ils pourraient être amenés à disparaître en milieu naturel dans les prochaines décennies.

Nom scientifique

Orang-outan de Sumatra (Pongo abelii)
Orang-outan de Bornéo (Pongo pygmaeus)
Orang-outan de Tapanuli (Pongo tapanuliensis) - Cette espèce a été découverte en novembre 2017 dans la région de Batang Toru au Nord de Sumatra en Indonésie.

Répartition / Habitat

Dans les forêts humides des plaines, forêts de marais et de tourbière en plaine, parfois jusqu’à 1 500 mètres d’altitude, au Nord de l’île de Sumatra (Indonésie) et de Bornéo (Malaisie et Indonésie)

Population

Orang-outan de Sumatra : 14 500 individus
Orang-outan de Bornéo : 104 700 individus 
Orang-outan de Tapanuli : 800 individus environ 

Taille

De 1,10 m à 1,40 m environ

Poids

De 40 à 90 kg

Régime alimentaire

Principalement frugivore (durians, fruits du jaquier, mangues, litchis, mangoustans, figues) mais se nourrit aussi de feuilles, lianes, jeunes pousses et petites proies animales (termites, fourmis, contenu des nids d’oiseaux)

Statut

En danger critique (UICN)
Classés à l’Annexe I de la CITES

De Jakarta  le 30 septembre 2022 vol pour BORNEO.

De Jakarta le 30 septembre 2022 vol pour BORNEO.

Orang-outan femelle avec son jeune. Photographiée le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan femelle avec son jeune. Photographiée le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan femelle avec son jeune. Photographiée le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan femelle avec son jeune. Photographiée le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan femelle avec son jeune. Photographiée le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan femelle avec son jeune. Photographiée le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan femelle avec son jeune. Photographiée le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan femelle avec son jeune. Photographiée le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan jeune. Photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan jeune. Photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan jeune. Photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan jeune. Photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan femelle. Photographiée le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan femelle. Photographiée le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan femelle. Photographiée le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan femelle. Photographiée le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan mâle. Photographié le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan mâle. Photographié le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan mâle. Photographiée le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan mâle. Photographiée le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan mâle. Photographiée le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan mâle. Photographiée le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan mâle. Photographiée le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan mâle. Photographiée le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan jeune. Photographiée le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Orang-outan jeune. Photographiée le 2 octobre 2022 à BORNEO.

                           2/ LES SINGES NASIQUES.

Le nasique, singe arboricole au drôle de nez

Excellent nageur et voltigeur, le nasique est une espèce endémique de l'île de Bornéo. Zoom sur un primate facilement reconnaissable avec son long nez tout mou.

Le nasique, singe arboricole au drôle de nez

Le nasique, singe au faciès orange

Le nasique (Nasalis larvatus) appartient à l’ordre des primates et à la famille des cercopithecidés, comme les macaques. Ce singe arboricole revêt un pelage au ton brun roussâtre plus foncé sur le dos que sur le ventre. La partie supérieure de son corps arbore un orange pâle tirant sur le rouge au sommet du crâne, la face extérieure des membres est grise, la paume des mains et la plante des pieds sont noires. De taille moyenne, le primate présente un dimorphisme sexuel assez prononcé : un mâle mesure généralement 65 à 75 cm, pèse entre 16 et 22 kg tandis que la femelle mesure entre 53 et 62 cm pour un poids allant de 7 à 12 kg.

Nasique : le Cyrano des primates

La principale caractéristique du nasique est incontestablement son nez qui grandit tout au long de sa vie. À la naissance, son appendice nasal est court et retroussé, puis il s’allonge pour recouvrir intégralement la bouche à l’âge adulte au point de devoir l'écarter de la main pour s'alimenter. Le nez du mâle rougit quand il est nerveux ou amoureux. Lors des parades nuptiales, il le gonfle telle une caisse de résonance et accomplit de puissantes vocalises. Les femelles s’accouplent d’ailleurs plus volontiers avec les individus arborant les plus longs appendices nasaux. Cet atout de séduction lui vaut le surnom Cyrano du monde simien.

Les mangroves, habitat du nasique

Le nasique est une espèce endémique de l’Île de Bornéo que se partagent l’Indonésie, la Malaisie et le sultanat de Brunei, en Asie du Sud-Est. Le primate évolue dans les mangroves et forêts humides. On l’observe sur les zones côtières comme à l’intérieur des terres, mais toujours en plaines et à proximité d’un cours d’eau douce, rivière ou fleuve par exemple.

Le nasique, un végétarien strict

Exclusivement végétarien, le nasique apprécie tout particulièrement les feuilles de palétuviers et ne dédaigne pas les fruits de palmiers, les baies et les graines. Ses intestins résistants lui permettent de consommer des aliments considérés comme non comestibles. C’est à ces végétaux peu digestibles que le primate doit son gros ventre ! Ce singe arboricole diurne descend la journée à terre pour manger puis retourne se hisser à plus de 10 mètres de haut pour échapper à ses prédateurs.

La nasique sait pratiquer l’apnée

Ce singe grégaire et territorial vit au sein de groupes constitués de quinze à trente individus de tous âges et majoritairement du même sexe. Comme de nombreux primates, le nasique pratique le toilettage mutuel pour maintenir la cohésion sociale dans la tribu. Agile mais aventureux, il saute d’arbre en arbre sans parfois s’assurer de la qualité de ses prises. Ses voltiges de plusieurs mètres peuvent l'amener sur une branche morte le faisant chuter. On rapporte qu’un quart de nasiques présentent des lésions graves voire des fractures ressoudées aux membres. À la moindre menace, l’animal se réfugie sous l'eau. Il est la seule espèce à pratiquer l’apnée avec aisance et à nager aussi rapidement. Il sait aussi plonger d'une hauteur de 15 mètres.

Le petit nasique, indépendant à un an

La période de reproduction s’étend de février à novembre et la mise-bas se tient la nuit, à la fin de la saison des pluies, entre mars et mai. Au terme d'une gestation d'environ 165 jours, la femelle donne naissance à un seul petit pesant en moyenne 500 grammes. La mère mange aussitôt le placenta pour ne pas attirer les prédateurs et nettoie son bébé qu’elle va allaiter pendant environ sept mois. L’implication du père dans l’éducation se limite à protéger le nouveau-né des rivaux agressifs. Après le sevrage, le nasique reste avec sa mère jusqu’à son premier anniversaire. Si c’est un mâle, il quittera ensuite ses parents pour s’associer à de jeunes adultes qu’il abandonnera à sa maturité sexuelle, vers 7 ans. Quant à la jeune femelle, elle pourra vivre avec sa mère ou rejoindre un autre harem.

Le nasique, une espèce en danger

Le crocodile, le léopard, la panthère nébuleuse et le python comptent parmi les principaux prédateurs du nasique. L’espèce est aussi menacée par la dégradation de son habitat due à la déforestation pour cultiver l'huile de palme et au développement urbain. Le primate est considéré comme "en danger" par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Il est désormais protégé par le gouvernement de Bornéo qui interdit sa capture ou sa chasse, mesures qui ne dissuadent pas totalement les braconniers. Son espérance de vie est de 20 à 25 ans à l’état sauvage.

Singes nasiques femelles photographiés le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Singes nasiques femelles photographiés le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Singes nasiques mâle et femelle photographiés le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Singes nasiques mâle et femelle photographiés le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Singe nasique Femelle photographié le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Singe nasique Femelle photographié le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Singe nasique Femelle photographié le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Singe nasique Femelle photographié le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Singe nasique mâle photographié le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Singe nasique mâle photographié le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Singes nasiques femelles photographiés le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Singes nasiques femelles photographiés le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Singe nasique mâle photographié le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Singe nasique mâle photographié le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Singe nasique femelle avec jeune photographiés le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Singe nasique femelle avec jeune photographiés le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Singe nasique femelle photographié le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Singe nasique femelle photographié le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Singe nasique femelle  photographié le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Singe nasique femelle photographié le 2 octobre 2022 à BORNEO.

        3/ LES SINGES MACAQUES A LONGUE QUEUE.

Le macaque à longue queue est menacé d'extinction en raison de la forte augmentation des captures de ce singe qui est également victime de la destruction de son habitat naturel dans les forêts d'Asie du Sud-Est, ont averti vendredi des ONG. Le commerce de macaques à longue queue a plus que doublé au cours de la deuxième moitié des années 2000, a affirmé Species Survival Network (SSN), qui rassemble plus de 80 organisations actives dans la protection des espèces animales.

En remèdes ou en mets, le macaque a du succès

Entre 2004 et 2008, les trafiquants ont vendu plus de 260.000 macaques à longue queue contre environ 120.000 entre 1999 et 2003, selon les estimations du groupe. Ces singes sont recherchés pour servir de remèdes ou de mets, ainsi que pour approvisionner des laboratoires médicaux ou d'expérimentation. Le commerce et l'élevage en captivité sont ainsi devenus une industrie lucrative dans plusieurs pays d'Asie du Sud-Est comme le Cambodge, l'Indonésie, les Philippines ou le Vietnam.

«Le macaque à longue queue est devenu le mammifère le plus vendu parmi les espèces répertoriées par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES)», a affirmé Ian Redmond, président du groupe de travail sur les primates au SSN. «Nos recherches soulèvent des interrogations alarmantes sur la viabilité à long terme des populations concernées si le commerce était autorisé à continuer à de tels niveaux», a-t-il ajouté dans un communiqué.

Macaque à longue queue photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Macaque à longue queue photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Macaque à longue queue photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Macaque à longue queue photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Macaque à longue queue jeune photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Macaque à longue queue jeune photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Macaque à longue queue photographié sur l'Île de RINCA le 5 octobre 2022  Parc National de KOMODO.

Macaque à longue queue photographié sur l'Île de RINCA le 5 octobre 2022 Parc National de KOMODO.

                     4/ SINGES LANGURS ARGENTES

Les langurs à crête ou langurs argentés sont originaires d'Indonésie où ils fréquentent les îles de Sumatra et de Bornéo. Il évoluent dans les forêts secondaires cotières ou les mangroves. De temps à autre, des singes peuvent se rencontrer dans des plantations.

Aucune information n'est disponible sur leur alimentation, mais leur régime alimentaire semble se rapprocher de leurs cousins qui se nourrissent de feuilles et de jeunes pousses.

Singe Langur argenté photographié le 3 octobre 2022 à BORNEO.

Singe Langur argenté photographié le 3 octobre 2022 à BORNEO.

Singe Langur argenté et son jeune photographié le 3 octobre 2022 à BORNEO.

Singe Langur argenté et son jeune photographié le 3 octobre 2022 à BORNEO.

Singes Langur argentés photographiés le 3 octobre 2022 à BORNEO.

Singes Langur argentés photographiés le 3 octobre 2022 à BORNEO.

                             5/ LES SINGES GIBBONS

Les gibbons sont menacés par la déforestation intensive, notamment pour l’huile de palme, mais aussi l’extraction de bois exotiques et les mines de charbon. Dans les villages, les jeunes sont souvent victimes de maltraitance, attachés et exhibés aux touristes, puis abandonnés ou tués lorsqu’ils deviennent adultes.

Lorsqu’ils sont secourus par l’association, les animaux sont souvent traumatisés et souffrent de maladies et de malnutrition. Plusieurs semaines de quarantaine et de soins sont nécessaires avant de pouvoir rejoindre des infrastructures adaptées. Leur réadaptation à la vie sauvage se fait par étapes et, si tout se passe bien, ils peuvent être relâchés dans la nature.

Les réintroductions sont rares mais constituent à chaque fois un moment riche en émotions pour les équipes. Cependant, beaucoup de gibbons ne pourront pas quitter l’association car incapables de survivre dans la nature, handicapés ou infectés par des maladies humaines (ex : hépatite). Les relâchés sont de plus extrêmement complexes à cause de la déforestation effrénée.

Au fil des années, l’association Kalaweit se dote de plus de moyens, au niveau financier, matériel et humain. Deux centres de soin ont vu le jour, à Bornéo et à Sumatra. L’association vient au secours d’autres animaux menacés par la déforestation : gibbons, orangs-outangs, ours, oiseaux, pangolins,…

Singe Gibbon photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Singe Gibbon photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Singe Gibbon photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Singe Gibbon photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Singe Gibbon photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Singe Gibbon photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Singe Gibbon photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Singe Gibbon photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

                              LE DRAGON DE KOMODO                                                                         Parc National de KOMODO

Varan de Komodo, quel avenir pour le plus grand lézard du monde ?
Varan de Komodo, quel avenir pour le plus grand lézard du monde ?

Apparu il y a plusieurs millions d’années, le varan de Komodo ou dragon de Komodo subsiste en Indonésie à travers 5 îles différentes, 4 appartenant au Parc national de Komodo. S’il sait économiser son énergie en restant parfaitement immobile, le plus grand de tous les lézards se montre aussi occasionnellement agressif et dangereux, avec quelques rares cas mortels de morsure chez l’Homme.

Plutôt solitaire à l’exception du moment du repas, le varan de Komodo souffre aujourd’hui de la perte de son habitat et de la diminution du nombre de ses proies.

  • Apparence : corps massif, peau épaisse noire à vert foncé
  • Longueur du corps : de 2 à 3 mètres
  • Poids : environ 70 kg
  • Longévité : environ 50 ans
  • Distribution : Indonésie
  • Régime alimentaire : charognes, cochons sauvages, cerfs, buffles, sangliers

Zones de répartition naturelle du varan de Komodo

Endémique d’Indonésie, le varan de Komodo est présent dans des proportions variables dans les îles de Gili Motang, Gili Dasami, Rinca, Komodo et Florès. Attentive aux migrations de ses proies, l’espèce effectue chaque année des déplacements saisonniers, passant des forêts d’altitude à la saison des pluies aux zones littorales durant les saisons sèches.

Pourquoi le varan de Komodo est-il en voie de disparition ?

Inscrit parmi les espèces vulnérables sur la liste rouge de l’UICN, le varan de Komodo ne comptait pas plus de 5000 individus il y a une vingtaine d’années et ces populations n’ont eu de cesse de décliner davantage. On estime aujourd’hui que seules 350 femelles reproductrices existent aujourd’hui dans le monde, sous l’effet couplé du réchauffement climatique et du développement humain.

Le changement climatique

Parce qu’il est très dépendant de son environnement, le varan de Komodo se révèle particulièrement vulnérable face au changement climatique. Les tremblements de terre et les éruptions volcaniques fréquemment observées dans la région sud-asiatique ont déjà par le passé entraîné la disparition totale de l’espèce dans certaines îles. 

Les bouleversements climatiques qui s’opèrent aujourd’hui pourraient également contribuer à réduire la superficie du territoire disponible pour le reptile, ce qui conduirait à l’extinction du varan de Komodo sur trois des cinq îles qu’il occupe actuellement.

La destruction de son habitat

Face à l’installation des populations humaines, c’est l’animal qui recule d’autant que la cohabitation se révèle bien souvent délicate. Chassé avant qu’il ne puisse s’attaquer aux poules, aux chèvres ou aux cochons, le varan de Komodo doit aussi composer avec la diminution du nombre de ses proies, l’Homme s’attaquant aux mêmes mammifères sauvages que lui.

Le braconnage

Si sa peau n’est pas la plus aisée à travailler, dans le cadre de la confection du cuir par exemple, le lézard n’en reste pas moins touché par le braconnage au point d’être inscrit à l’Annexe I de la CITES (Convention sur le commerce international des espèces menacées d’extinction). Lorsqu’il n’est pas recherché pour sa peau, ce sont des trafics illégaux qui s’opèrent pour le vendre comme animal de compagnie.

Le tourisme

Dans le Parc national de Komodo, le nombre annuel de visiteurs est passé de 80 000 en 2014 à 170 000 en 2018. Face à cette augmentation, certains chercheurs ont pointé du doigt les conséquences néfastes que pouvait avoir le contact humain sur le comportement et la reproduction de l’animal. Des appels restés pour l’heure sans réponse, l’île de Komodo n’ayant finalement pas été fermée au tourisme de masse comme cela était censé se faire en 2019.

Créé en 1980, le Parc national de Komodo a progressivement été rejoint par les réserves de Wae Wuul et Wolo Tado ouvertes sur l’île de Flores. Pour autant, l’espèce reste globalement en déclin, sans que le nombre exact de ses populations ne nous soit vraiment connu.

Tandis que le réchauffement climatique s’accélère, de nouvelles initiatives évoquent le transfert de l’animal vers des régions qui pourraient continuer à lui offrir un habitat de qualité. Le varan de Komodo pourrait ainsi peut-être, dans les décennies à venir, coloniser de nouvelles zones où il n’avait été jusqu’alors que très rarement recensé.

Parc National de Komodo, dans les Petites Îles de la Sonde en Indonésie.

Parc National de Komodo, dans les Petites Îles de la Sonde en Indonésie.

Le bateau traditionnel pour visiter les Petites Îles de la Sonde et le Parc National de Komodo le 9/10.

Le bateau traditionnel pour visiter les Petites Îles de la Sonde et le Parc National de Komodo le 9/10.

Mouillage au Chauves-souris point le 4 octobre 2022 Parc National de KOMODO.

Mouillage au Chauves-souris point le 4 octobre 2022 Parc National de KOMODO.

Dans le Parc National de Komodo sur le bateau traditionnel. Le 5 octobre 2022 à 6h du matin.

Dans le Parc National de Komodo sur le bateau traditionnel. Le 5 octobre 2022 à 6h du matin.

Dans l'Île de Komodo. Photo prise le 7 octobre 2022. Le Dragon de Komodo est en bordure de plage.

Dans l'Île de Komodo. Photo prise le 7 octobre 2022. Le Dragon de Komodo est en bordure de plage.

Dans l'Île de Komodo. Dragon de Komodo et moi même. Photo prise par le guide local le 7 octobre 2022

Dans l'Île de Komodo. Dragon de Komodo et moi même. Photo prise par le guide local le 7 octobre 2022

Parc National de Komodo. Padar island, le plus beau point de vue du Parc National de Komodo.

Parc National de Komodo. Padar island, le plus beau point de vue du Parc National de Komodo.

Parc National de Komodo. Padar island, le plus beau point de vue du Parc National de Komodo.

Parc National de Komodo. Padar island, le plus beau point de vue du Parc National de Komodo.

Dragon de KOMODO au repos Île de RINCA photographié le 5 octobre 2022

Dragon de KOMODO au repos Île de RINCA photographié le 5 octobre 2022

Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Nid du Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Nid du Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Cache du Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 8 octobre 2022.

Cache du Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 8 octobre 2022.

Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

Dragon de KOMODO Île de KOMODO photographié le 7 octobre 2022.

                                                           LES OISEAUX 

Indonésie: des milliers d'oiseaux exotiques menacés dans des forêts pillées

Agé de quelques jours et perché dans son nid à l'intérieur d'une volière, un petit oiseau chanteur très apprécié en Indonésie pour son gazouillement porte à la patte une bague métallique, très importante pour lutter contre l'immense trafic d'oiseaux exotiques dans ce pays.

L'oisillon est né dans le jardin tropical de Megananda Daryono, à Bogor, une ville de la grande île de Java, dans la proche banlieue de la capitale Jakarta. Ce défenseur des espèces sauvages vend des oiseaux nés en captivité: il leur enfile une bague à la patte pour montrer aux acheteurs potentiels que ces animaux n'ont pas été capturés dans la nature.

"J'ai réalisé que les oiseaux attrapés dans la forêt disparaîtraient un jour pour de bon", explique-t-il au milieu de ses volières contenant des centaines d'espèces, parmi lesquels de magnifiques perroquets et des oiseaux chanteurs vulnérables.

Des milliers d'oiseaux exotiques sont en effet attrapés illégalement chaque année dans les forêts tropicales en Indonésie et revendus sur des marchés où ils arrivent cachés dans des caisses, parfois même à l'intérieur de bouteilles en plastique.

Conséquence: pas moins de 131 espèces d'oiseaux dans la jungle indonésienne sont menacées, soit plus que dans tout autre pays à l'exception du Brésil, s'alarme TRAFFIC, une ONG de surveillance du commerce de la faune et de la flore.

L'Indonésie est un terrain propice à un tel trafic: la jungle de l'archipel d'Asie du Sud-Est regorge d'espèces d'oiseaux chanteurs, tels le garrulaxe bicolore de Sumatra, le Lori noira rouge à la queue brun-vert ou encore l'étourneau à ailes noires.

Depuis des siècles, les Indonésiens possèdent des oiseaux en cage comme animaux domestiques. Et dans ce pays émergent à la population croissante, l'obsession d'avoir chez soi des oiseaux et la participation à des concours de gazouillement nourrissent une demande sans précédent, en partie alimentée par les trafics.

Conséquence: pas moins de 131 espèces d'oiseaux dans la jungle indonésienne sont menacées, soit plus que dans tout autre pays à l'exception du Brésil, s'alarme TRAFFIC, une ONG de surveillance du commerce de la faune et de la flore.

Du côté du public, l'urgence n'est pas forcément la même: des associations regroupant des milliers d'amateurs de gazouillements parcourent l'archipel pour participer à des concours nationaux de chants d'oiseaux dans l'objectif de remporter des prix. Ou pour la gloire.

Ce sont des affaires sérieuses, raconte Johan, un champion en la matière, pendant un récent concours dans le centre de Java, où des hommes crient et sifflent en direction de leurs oiseaux pour les encourager à continuer de chanter. Un jury impassible attribue des points pour la mélodie, la durée et le volume.

"Ce n'est pas un concours de beauté, c'est un concours de chant. C'est de la gazouillis mania", s'enthousiasme Johan. "Le chant est la seule chose qui compte", explique-t-il à côté de son canari jaune perché dans une cage en bois orné. C'est l'un des 50 oiseaux qu'il possède.

Des appels lancés pour interdire ces concours populaires ont rencontré une vive résistance. Les défenseurs de la "gazouillis mania" estiment qu'ils constituent une spécificité indonésienne et accusent le commerce d'oiseaux - pas les compétitions - d'être responsable de la forte diminution du nombre d'oiseaux exotiques dans les forêts

 

Capturer toute espèce d'oiseau dans la nature, qu'elle soit protégée ou non, est pourtant illégal en Indonésie, mais les lois sont peu appliquées et des sanctions sont rarement prononcées contre des trafiquants ou vendeurs sur des grands marchés, constate Chris Shepherd.

- "Faire évoluer les esprits" -

A Jakarta, le marché aux oiseaux de Pramuka, l'un des plus grands d'Asie, est connu comme un endroit où sont vendues des espèces vulnérables et gravement menacées, en l'absence de contrôles. Quelque 20.000 oiseaux y étaient exposés lors d'une récente journée.

Des efforts ont été entrepris pour éviter d'associer les concours de chants d'oiseaux aux trafics sur les marchés. Ainsi, la Société indonésienne des oiseaux sauvages (PBI), qui autorise et note un important championnat de chants d'oiseaux, a promis d'éliminer tous les oiseaux sauvages et de les remplacer par des oiseaux chanteurs nés en captivité.

Mais l'ancien président de la PBI, Made Sri Prana, estime que la transition prendra du temps et observe qu'"il n'y a pas de véritables obligations" pour des concours organisés par des associations ne dépendant pas du PBI.

Signes positifs, des programmes d'élevage d'oiseaux comme celui de Megananda se développent par centaines à travers le pays et les autorités ont effectué récemment plusieurs importantes saisies d'oiseaux attrapés illégalement.

Il faudra toutefois du temps pour changer les vieilles habitudes, prévient Ria Saryanthi, de l'ONG pour la protection des oiseaux Burung Indonesia. "Pas facile de faire évoluer les esprits".

Quelques oiseaux photographiés en Indonésie pendant mon séjour.

Aigrette garzette photographiée le 3 octobre 2022 à BORNEO.

Aigrette garzette photographiée le 3 octobre 2022 à BORNEO.

Cigogne de Storm photographiée le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Cigogne de Storm photographiée le 2 octobre 2022 à BORNEO.

Eurylaime rouge et noir photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Eurylaime rouge et noir photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Calao charbonnier photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Calao charbonnier photographié le 1er octobre 2022 à BORNEO.

Tourterelle tigrine photographiée le 5 octobre 2022 au Parc National de KOMODO.

Tourterelle tigrine photographiée le 5 octobre 2022 au Parc National de KOMODO.

Aigle de Florès photographié le 5 octobre 2022 au Parc National de KOMODO.

Aigle de Florès photographié le 5 octobre 2022 au Parc National de KOMODO.

Sterne huppée photographiée le 5 octobre 2022 au Parc National de KOMODO.

Sterne huppée photographiée le 5 octobre 2022 au Parc National de KOMODO.

Alouette de Java photographiée le 6 octobre 2022 sur l'Île de Padar au Parc National de KOMODO.

Alouette de Java photographiée le 6 octobre 2022 sur l'Île de Padar au Parc National de KOMODO.

Moineau friquet photographié le 7 octobre 2022 au Parc National de KOMODO.

Moineau friquet photographié le 7 octobre 2022 au Parc National de KOMODO.

Carpophage pauline photographié le 7 octobre 2022 sur l'Île de KOMODO.

Carpophage pauline photographié le 7 octobre 2022 sur l'Île de KOMODO.

Loriot de Chine photographié le 7 octobre 2022 su l'Île de KOMODO.

Loriot de Chine photographié le 7 octobre 2022 su l'Île de KOMODO.

Corneille de Florès photographiée le 7 octobre 2022 sur l'Île de KOMODO.

Corneille de Florès photographiée le 7 octobre 2022 sur l'Île de KOMODO.

Hirondelle rousseline photographiée le 8 octobre 2022 sue l'Île de KOMODO.

Hirondelle rousseline photographiée le 8 octobre 2022 sue l'Île de KOMODO.

Coq de Java photographié le 8 octobre 2022 sur l'Île de KOMODO.

Coq de Java photographié le 8 octobre 2022 sur l'Île de KOMODO.

Cacatoès à huppe jaune photographié le 8 octobre 2022 sur lÎle de KOMODO.

Cacatoès à huppe jaune photographié le 8 octobre 2022 sur lÎle de KOMODO.

Pygargue glabre photographié le 8 octobre 2022 sur l'Île de KOMODO.

Pygargue glabre photographié le 8 octobre 2022 sur l'Île de KOMODO.

                                         En résumé c'est un voyage en Asie et plus particulièrement en Indonésie qui est à faire absolument pour ceux qui le peuvent. Et je ne parle pas ici des fonds sous-marins avec des récifs coralliens sublimes et le Manta-Point où nous avons nagé avec les raies Mantas. 

                                                          FIN DE CET ARTICLE.

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