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JORDANIE VOYAGE DU 3/11/2018 AU 11/11/2018

Publié le par André BERTON

   Je  voulais visiter la JORDANIE depuis longtemps. Elle est chargée d'histoire depuis plus de 2000 ans et riche de trésors du Patrimoine mondial de l'UNESCO. La Capitale AMMAN, la ville romaine de JERASH, L'envoutante PETRA et le désert de WADI RUM. C'est en partie au milieu de ces sites archéologiques millénaires que je vais vous faire découvrir la JORDANIE

   Sans compter les châteaux des croisés, la Mer Rouge, la Mer Morte, le mont NEBO etc... Et puis, chose rare dans cette région, le pays est un havre de paix parmi tant de conflits en cours dans le Proche-Orient. Et la criminalité est extrêmement rare à AMMAN.

     

     Cliquer sur les photos pour les agrandir.

    Toutes les photos sont protégées.

    Pas de reproduction sans accord préalable

                                          AMMAN la Capitale

Mosquée Al-Husseiny.

Mosquée Al-Husseiny.

La Citadelle. Elle est située sur la plus haute colline d'Amman, le Jebel al-Qala'a à 850 mètres du niveau de la mer. Ce site est occupé depuis l'âge du bronze à l'emplacement de l'ancienne Rabbath Ammon. Elle servit de forteresse pendant une longue partie de son histoire. Un long mur de 1700 mètres de long l'entoure. Ce mur fut reconstruit à de nombreuses reprises, notamment sous les Romains, les Byzantins et les Omeyyades.

Le temple d'Hercule fut érigé sous le règne de l'empereur romain Marc Aurèle en l'an 161-180

Le Temple d'Hercule, dans la Citadelle.

Le Temple d'Hercule, dans la Citadelle.

Le Temple d'Hercule dans la Citadelle et l'auteur André BERTON.

Le Temple d'Hercule dans la Citadelle et l'auteur André BERTON.

Le temple d'Hercule dans la Citadelle et l'auteur André BERTON.

Le temple d'Hercule dans la Citadelle et l'auteur André BERTON.

Le Temple d'Hercule dans la Citadelle.

Le Temple d'Hercule dans la Citadelle.

Nymphée ou fontaine publique. Elle est monumentale, construite en 191 avec probablement un bassin de 600m2. Restauration en cours depuis les fouilles de 1993.

Nymphée.

Nymphée.

                                                      THEATRE ROMAIN   

Ce qu'il faut absolument voir à AMMAN c'est le théâtre romain. En effet, il est très bien conservé et magnifiquement restauré en 1957. C'est le site phare d'AMMAN. Il est creusé dans le flanc d'une colline et il peut accueillir 6000 personnes. Ce théâtre a été édifié au II ème siècle sous Antonin le Pieux règne de 138 à 161. Ce théâtre romain est tout ce qu'il reste du forum construit en 190.  Situé devant le théâtre avec des colonnades sur trois côtés c'était l'une des plus grandes places publiques de la Rome impériale 100 x 50 mètres. La plus grande partie de ce forum est désormais enfoui sous les rues de la ville moderne.

Théâtre romain.

Théâtre romain.

Théâtre romain.

Théâtre romain.

Théâtre romain et l'auteur André BERTON.

Théâtre romain et l'auteur André BERTON.

Théâtre romain l'auteur André BERTON et son épouse.

Théâtre romain l'auteur André BERTON et son épouse.

                                                 JERASH, ville romaine.

   C'est Alexandre le Grand qui fonda la ville en 333 av. JC.

   En 64 av. JC le général romain Pompée s'empara de la région, désormais ce sont les romains qui administreront  cette ville et d'autres encore que l'on appellera la Décapole. La ville s'enrichit considérablement par le commerce avec les Nabatéens, les mines de fer et l'agriculture. Au 1er siècle de notre ère, la ville fut redessinée suivant un plan en damier avec un cardo maximus. Elle fut encore améliorée en l'an 106 sous l'empereur Trajan et l'empereur Hadrien qui à l'occasion d'une visite construisit  en 129 l'Arc d'Hadrien par lequel on rentre aujourd'hui. Cette cité connu son âge d'or au début du III ème siècle et elle comptait entre 15 000 et 20 000 habitants. le tremblement de terre de 747 amorça son déclin. Puis elle fut complétement désertée jusqu'à l'arrivée des Circassiens de Russie en 1878.

                                                                     Arc d'Hadrien.

Arc d'Hadrien, entrée de la ville romaine et l'auteur André BERTON. A l'origine, l'arc était deux fois plus haut et comprenait trois énormes portes en bois.

Arc d'Hadrien, entrée de la ville romaine et l'auteur André BERTON. A l'origine, l'arc était deux fois plus haut et comprenait trois énormes portes en bois.

Arc d'Hadrien à l'arrière.

Arc d'Hadrien à l'arrière.

                                                                  Hippodrome.

   Edifié entre le Ier et II ème siècle, il était autrefois entouré de gradins pouvant accueillir 15 000 spectateurs soit 30 fois sa capacité actuelle et mesure 244 m X 50 m. Le public venait assister aux jeux opposant des athlètes et à des courses de chars.

Hippodrome, l'auteur André BERTON et son épouse.

Hippodrome, l'auteur André BERTON et son épouse.

                                                                      Porte sud.

Elle fut érigée en l'an 130. C'est l'une des 4 entrées qui furent aménagées dans le mur d'enceinte.

Porte sud et l'auteur André BERTON.

Porte sud et l'auteur André BERTON.

                                                Le Forum. Typique de la ville romaine.

   C'est un immense espace de 90 m X 80 m en plein coeur de la cité qui tenait lieu de place du marché et était le véritable coeur de la vie sociale et politique de la ville. Aujourd'hui il attire encore les foules, touristes et Jordaniens qui viennent pique-niquer. Construit au milieu du Ier siècle, il est entouré de 56 colonnes, et le pavage d'origine est constitué de dalles calcaires de très grandes qualité, dalles dont la taille augmente au fur et à mesure que l'on s'éloigne du centre, créant une drôle d'impression.

Forum.

Forum.

Forum et l'auteur André BERTON.

Forum et l'auteur André BERTON.

Forum.

Forum.

Forum et l'auteur André BERTON.

Forum et l'auteur André BERTON.

Forum

Forum

                                                                  Théâtre nord.

   Construit en 165 et agrandi en 235, cet édifice était sans doute dévolu aux réunions officielles plutôt qu'aux spectacles artistiques. Comme de nombreux autres monuments prestigieux de JERASH il fut détruit par un tremblement de terre puis en partie démantelé par les Byzantins et les Omeyades. Il a été superbement restauré ces dernières années et conserve sa capacité d'accueil de 2000 personnes.

Théâtre nord.

Théâtre nord.

Théâtre nord.

Théâtre nord.

                                                      Voie Cardo Maximus.

   Longue de 800 mètres du Forum jusque la porte nord, cette voie a été aménagée au Ier siècle et dotée d'un système d'égouts souterrains, on y voit encore les trappes de visite en pierre comme celles en fonte de nos villes modernes; ce qui était extraordinaire pour l'époque et témoigne encore du génie civil romain. Cette rue fut redessinée et reconstruite plusieurs fois. Il y avait quelques 500 colonnes qui bordaient cette voie, elles étaient de tailles inégales de façon délibérée et suivaient ainsi l'alignement des façades des monuments qui se dressaient à l'arrière plan. Bien que la restauration de ces colonnes ne représente pas l'intégralité de ce que cela était à l'époque, cela donne une excellente idée de l'aspect d'origine de cet axe. De nombreux bâtiments en ruines ou restaurés sont situés de part et d'autre du Cardo Maximus.

Voie Cardo Maximus.

Voie Cardo Maximus.

Voie Cardo Maximus.

Voie Cardo Maximus.

Tétrapyle nord situé dans la voie Cardo Maximus et qui servait probablement d'entrée au théâtre nord. Puis la porte nord dans le fond de l'image.

Tétrapyle nord situé dans la voie Cardo Maximus et qui servait probablement d'entrée au théâtre nord. Puis la porte nord dans le fond de l'image.

Propylée situé sur la voie Cardo Maximus et servant d'entrée au temple d'Arthémis.

Propylée situé sur la voie Cardo Maximus et servant d'entrée au temple d'Arthémis.

Voie Cardo Maximus.

Voie Cardo Maximus.

Voie Cardo Maximus et l'auteur André BERTON.

Voie Cardo Maximus et l'auteur André BERTON.

                                       PETRA, ville des Nabatéens.

   C'est évidemment sans compter les autres merveilles de JORDANIE, le but de mon voyage : PETRA. C'est le nom même qui fait rêver et tout simplement l'une des merveilles du monde. Les Nabatéens arrivèrent dans la région autour du 6ème siècle av. JC. et ils organisèrent le commerce des caravanes et son contrôle. Au cours des 500 ans ils investirent leurs richesses dans l'édification de la cité de PETRA. A son âge d'or, sous le règne d'ARETAS IV en l'an 8 av. JC, cette cité comptait environ 30.000 habitants. Dés l'an 106 les Romains s'emparèrent du royaume Nabatéen. Loin de l'abandonner à son sort ceux ci entreprirent de l'aménager en incorporant des éléments typiques des cités romaines, voies à colonnades, thermes..etc L'empereur Adrien la visita en 131. Et finalement PETRA devint la capitale au IV siècle de la province romaine de la Palestine.

    Les tremblements de terre de 363 et 551 détruisirent une grande partie de la cité de PETRA et elle tomba dans l'oubli seulement connue par les Bédouins. En 1812 pourtant un jeune explorateur Suisse converti à l'Islam Jean-Louis Burckhardt pénétra dans l'ancienne cité abandonnée déguisé en pèlerin musulman mettant ainsi fin à son splendide isolement. Depuis 1929 les fouilles n'ont jamais cessées, et à ce jour bien des choses et des secrets restent à découvrir. Seulement le tourisme que l'on pourrait appeler de << masse>> et qui fait vivre une grande partie de la population sur place de Bédouins actuelle serait un frein à la prospection, car il faut souvent fouiller, percer, excaver, travaux qui ne seraient pas compatibles au site pour les touristes venant tous les jours du monde entier.

 

                                                                     Le SIQ.

   Avant d'arriver au << TRESOR >> il faut arriver à l'entrée du défilé que l'on appelle LE SIQ. Une voie de 800 mètres nous y amène, et déjà des tombeaux sont visibles comme les Blocs des Djinns, et la tombe aux obélisques et triclinium de Bab as-Siq. Une fois passé la porte d'entrée virtuelle du SIQ, il faut marcher environ 1,2 km dans un défilé étroit et sinueux aux parois hautes de plusieurs dizaines de mètres. Ce n'est pas un canyon à proprement parler, mais un bloc fissuré par des mouvements tectoniques. Du temps des Nabatéens cette voie était sacrée. on y entrait en procession. Il faut remarquer les rigoles taillées dans la roche sur les côtés qui acheminaient l'eau jusqu'à PETRA, symboles de la capacité des Nabatéens à résoudre dans ces contrées désertiques,  la sécheresse importante  et par conséquent les problèmes liés à l'alimentation en eau de leur cité. En 1997 des fouilles ont révélées une portion de pavage romain à 2mètres au dessous du niveau du sol actuel; ce sont des alluvions déposées par le wadi musa qui de temps à autre rentre en crue, lequel emporte tout sur son passage l'or d'orages importants. De temps à autre le site de PETRA reste fermé à cause de ces événements pluvieux orageux, comme 2 jour après avoir nous même visité le site, nous avons eu beaucoup de chance, car des touristes sont restés bloqués, montés sur des rochers en attendant d'être évacués. Et les paquebots accostant à Aqaba durent faire demi-tour.

L'entrée virtuelle de PETRA: Le SIQ. Marie Françoise BERTON.

L'entrée virtuelle de PETRA: Le SIQ. Marie Françoise BERTON.

L'entrée virtuelle de PETRA: Le SIQ. L'auteur André BERTON

L'entrée virtuelle de PETRA: Le SIQ. L'auteur André BERTON

Le SIQ. L'auteur André BERTON et son épouse.

Le SIQ. L'auteur André BERTON et son épouse.

Le SIQ et le Bédouin. L'auteur André BERTON.

Le SIQ et le Bédouin. L'auteur André BERTON.

Le SIQ.

Le SIQ.

                                                     Le TRESOR Al-Khazneh.

   C'est l'emblème de PETRA, ce mausolée sculpté dans le grés ferrugineux au Ier siècle av. JC, doit son nom d'une légende, qui laissait entendre qu'un pharaon aurait caché ses richesses dans l'urne en pierre massive de 3,5m de hauteur couronnant la rotonde au niveau supérieur, évidemment ce n'était qu'une rumeur, qui a persisté pendant de nombreuses décennies. L'intérieur du monument se résume à une salle carrée sans décoration avec une petite pièce à l'arrière.  Dernièrement en 2003 l'or de fouilles sous l'édifice, une nécropole a été trouvée.

Le trésor Al-Khazneh.

Le trésor Al-Khazneh.

Le trésor Al-Khazneh.

Le trésor Al-Khazneh.

Le Trésor Al-Khazenh.

     C'est ici que l'on voit les caravaniers qui louent en accompagnant leurs dromadaires, leurs ânes et petits chevaux arabes pour aller conduire les touristes fatigués ou en mauvaises conditions physique vers les autres sites de PETRA. Nous avons fait personnellement 14 km aller retour en tout à pied, oui il faut une certaine condition sportive pour visiter ce site très étendu. 

Le trésor Al-Khazneh. L'auteur André BERTON

Le trésor Al-Khazneh. L'auteur André BERTON

Le trésor Al-Khazneh. Marie Françoise BERTON.

Le trésor Al-Khazneh. Marie Françoise BERTON.

                             Tombes royales et allée des façades, nécropole.

   En partant du Trésor, le passage s'élargit pour devenir ce que communément l'on appelle le SIQ exrérieur. Plus d'une quarantaine de tombe et d'habitations construites par les Nabatéens évoquant l'architecture assyrienne.

Tombes royales et allée des façades, nécropole.

Tombes royales et allée des façades, nécropole.

Tombes royales et allée des façades, nécropole.

Tombes royales et allée des façades, nécropole.

Tombes royales et allée des façades, nécropole.

Tombes royales et allée des façades, nécropole.

                                                                       Le théâtre.

   Ce sont les Nabatéens qui creusèrent ce théâtre dans la roche il y a plus de 2000 ans, et ils durent couper à travers grottes et tombes existantes pour le faire. Leur ouvrage fut agrandi par les romains peu après leur arrivée en 106 pour atteindre la capacité de 8500 spectateurs presque 30% de la population de PETRA à cette époque. Sévèrement endommagé par un tremblement de terre en 363, le théâtre fut en partie désassemblé pour servir à la construction d'autres structures. La partie occupée par les gradins pouvait contenir jusqu'à 3000 spectateurs sur 45 rangées de sièges.

 

Le théâtre. L'auteur André BERTON.

Le théâtre. L'auteur André BERTON.

Porte du téménos érigée au II ème siècle. L'auteur André BERTON et son épouse.

Porte du téménos érigée au II ème siècle. L'auteur André BERTON et son épouse.

                                                                  Le Monastère.

   Il est niché haut dans la colline et il est lui aussi un monument emblématique de PETRA. Il est bien plus imposant que le Trésor avec ses 50 mètres de largeur et ses 45 mètres de hauteur. Construit au III ème siècle av. JC. peut être à des fins funéraires, il doit son nom aux croix gravées sur les murs intérieurs qui laissent penser qu'il servit d'église à l'époque Byzantine.

Montée des 800 marches jusqu'au Monastère. L'auteur André BERTON.

Montée des 800 marches jusqu'au Monastère. L'auteur André BERTON.

Montée des 800 marches jusqu'au Monastère. Marie Françoise BERTON.

Montée des 800 marches jusqu'au Monastère. Marie Françoise BERTON.

Le Monastère.

Le Monastère.

                                                   Little PETRA. Siq al-Barid.

   Il ne rivalise pas avec son illustre voisin mais vaut le détour. Il fut probablement autrefois un centre agricole, un faubourg marchand et un relais caravanier. 

Little PETRA; Temple dont les archéologues ne savent que peu de choses. L'auteur André BERTON.

Little PETRA; Temple dont les archéologues ne savent que peu de choses. L'auteur André BERTON.

Maison peinte. Rare vestige de peintures murales colorées Nabatéenne: vignes, fleurs, oiseaux.

Maison peinte. Rare vestige de peintures murales colorées Nabatéenne: vignes, fleurs, oiseaux.

Peintures murales Nabatéennes dans la maison peinte.

Peintures murales Nabatéennes dans la maison peinte.

Quatre Tricliniums. Probablement destinés aux marchands et aux voyageurs.

Quatre Tricliniums. Probablement destinés aux marchands et aux voyageurs.

Le temple dont les archéologues savent que peu de choses.

Le temple dont les archéologues savent que peu de choses.

                                                   Le désert de WADI RUM.

   Lawrence d'Arabie a décrit la beauté de ce désert du WADI RUM, les roches sculptées, les dunes et les campements de Bédouins, dans les sept piliers de la sagesse au début du XX ème siècle. Ce désert s'étend sur plus de 100 km du nord au sud. La vallée centrale se trouve à 900 mètres au dessus du niveau de la mer, et le point culminant souvent considéré comme le point le plus haut de la JORDANIE est le JEBEL UMM ADAAMI 1754 mètres. Cette zone est maintenant protégée depuis 1988 pour promouvoir le tourisme tout en protégeant l'environnement. Avec plus de 100 000 visiteurs par an et 600 véhicules 4X4 ce n'est pas une mince affaire.

   Mais les Bédouins sont impliqués dans la gestion du désert, bien que la plupart des 5000 membres des clans nomades sont désormais sédentarisés dans les villages environnants. Le désert s'étend au delà jusqu'à certaines régions tout aussi magnifiques mais qui ne font pas partie de la zone protégée du Wadi Rum. Comme dans tous les milieux désertiques, avec une chaleur accablante la journée, les animaux peux nombreux ne sortent que la nuit, comme le Hérisson, le lièvre, le daman, le chacal, le loup, le caracal, ou le bouquetin aux cornes géantes. Il faut avoir beaucoup de chances pour apercevoir ces animaux dans la journée. Les Oryx disparus depuis longtemps ont été dernièrement réintroduits mais ont préférés s'installer dans les plaines rocheuses de l'Arabie voisine. On pourrait aussi apercevoir des oiseaux de proies comme le Faucon crécerelle, le Faucon condolore, le Grand duc, mais en une demie journée, autant renoncer et à la place  admirer les magnifiques paysages parcourus..

Ancien train Turque du film de Lawrence d'Arabie, une attraction locale. L'auteur André BERTON et son épouse.

Ancien train Turque du film de Lawrence d'Arabie, une attraction locale. L'auteur André BERTON et son épouse.

Caravaniers au repos dans le Wadi Rum. L'auteur André BERTON et son épouse.

Caravaniers au repos dans le Wadi Rum. L'auteur André BERTON et son épouse.

Arche de Umm Fruth, niché dans un coin reculé du désert du Wadi Rum. L'auteur André BERTON.

Arche de Umm Fruth, niché dans un coin reculé du désert du Wadi Rum. L'auteur André BERTON.

Arche de Umm Fruth, nichée dans un coin reculé du désert du Wadi Rum. Marie Françoise BERTON.

Arche de Umm Fruth, nichée dans un coin reculé du désert du Wadi Rum. Marie Françoise BERTON.

Rassemblement sous une tente Berbère, le Thé.

Rassemblement sous une tente Berbère, le Thé.

Le thé dans le désert Wadi Rum. Berbères. L'auteur André BERTON et son épouse

Le thé dans le désert Wadi Rum. Berbères. L'auteur André BERTON et son épouse

Caravaniers au repos dans le Wadi Rum. L'auteur André BERTON.

Caravaniers au repos dans le Wadi Rum. L'auteur André BERTON.

Caravaniers au repos dans le Wadi Rum.

Caravaniers au repos dans le Wadi Rum.

Caravaniers au repos dans le Wadi Rum.

Caravaniers au repos dans le Wadi Rum.

Caravaniers au repos dans le Wadi Rum.

Caravaniers au repos dans le Wadi Rum.

Pétroglyphes thamoudéennes et nabatéennes.

Pétroglyphes thamoudéennes et nabatéennes.

Pétroglyphes thamoudéennes et nabatéennes.

Pétroglyphes thamoudéennes et nabatéennes.

Coucher de soleil dans le Wadi-Rum.

Coucher de soleil dans le Wadi-Rum.

                                    FIN du voyage en JORDANIE

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